Trail de l’Orangerie de Bonnelles 2024

Le récit de Florence :

Trail de dernière minute pour accompagner une copine qui manquait de motivation, le trail de l’Orangerie de Bonnelles s’est révélé être une belle découverte.

Un trail comme on les aime, des bénévoles au top, une météo pour une fois cette année idéale, un parcours en sous-bois exigeant surtout pour les 4 premiers kilomètres avec de belles montées, tout était présent pour en faire une belle édition.

A mettre en concurrence dans mon agenda avec la Cernaysienne, même région et même période.

Au final Françoise boucle le parcours en 1:15 (114ème au scratch) et Florence en 1:18 (136ème au scratch).

LFC TRAIL 2024

Pour 22ème édition du LFC TRAIL, le temps était très incertain jusqu’à l’heure du départ de l’épreuve des 20 kms. Il n’en fallait pas moins pour nos 5 coureurs Bernard, Christophe, Olivier et Yannick sur les 20 kms, et Florence sur les 10 kms de parcourir les sentiers bien « gras » (compte tenu des conditions météo) des Vaux de Cernay, site remarquable qui s’étend sur les communes d’Auffargis, de Cernay-la-Ville et de Senlisse dans le département des Yvelines. Ajouté à cela une très bonne organisation, une convivialité très familiale et vous obtenez 2 courses à recommander pour tout amateur passionné de trail !

Les résultats :

PrénomClassementClassement catégorieÉpreuve
Yannick3ème3ème M1H / 3820 kms
Olivier31ème6ème M2H / 3020 kms
Christophe107ème11ème M4H / 2120 kms
Bernard152ème1er M6H / 320 kms
Florence152ème5ème M4F / 810 kms

L’orcéenne 2024

Le Dimanche 26 juin 2024 avait lieu l’orceenne, une course nature traditionnelle organisée par la mairie d’Orsay avec la présence, du nouveau maire d’Orsay Rémi Darmon, du Maire de Palaiseau Grégoire de Lasteyrie, du sénateur David Ros, et de la ministre Sylvie Retailleau.

Il y avait 3 courses, le cross long de 15km, le cross court de 8km et une course pour les enfants de 2km.

Une ambiance locale très sympathique, ou les orcéens pouvaient retrouver leurs amis et les coureurs de la région.
Ce sont des courses ‘Nature’, parce que la plupart du parcours se fait dans les bois ou sur les promenades au bord de l’Yvette.

Deux membres de la Seras se sont alignés sur la ligne de départ.
Catherine a choisi le 8km pour ne pas s’épuiser une semaine avant son « marathon de la liberté ».
Bernard a couru le cross long, pour préparer sa semaine de trails dans le Vercors 3 jours plus tard.

Le départ se faisait sur le stade d’Orsay, à 9h30 pour le 15km et à 9h45 pour le 8km puis les courses continuaient le long du stade de rugby, avant de longer l’Yvette.
Les parcours se séparaient à l’entrée de la fac.

Les 217 coureurs du ‘8km’ poursuivaient leurs parcours sur les sentiers de l’Université.

Les 208 coureurs du cross long se lançaient à partir de 3km, dans le gros dénivelé (~100m D+) de la montée sur le plateau. Puis la course continuait en sous bois le long du coteau jusqu’à la descente du Moulon puis dans le bas du bois de la Guyonnerie avant de rejoindre le parcours du 8km qui traversait la fac sur les sentiers roulants. Et enfin, 4km rapide de retour le long de l’Yvette sous les encouragements des familles et amis.

Catherine domine très largement sa catégorie M4 en 00:40:12 à 11,94km/h et se voit remettre la médaille, en montant sur la première marche du podium M4F

Bernard arrive deuxième M6H du cross long en 01:25:12 à 10,56km/h

Une journée ensoleillée bien agréable qui se poursuivait par les agapes familiales de la fête des mères.

Trail de l’Aber Wrach 2024

Pour la première sortie collective 2024, nos 3 coureurs Christophe, Bernard et Geoffroy étaient présents dans le Finistère Nord aux départs des parcours 60 KM (Christophe) et 30 KM (Bernard et Geoffroy) du TAW ! Félicitations à tous les 3 !

Ci-dessous le CR de Christophe accompagné de photos (avec en « guest star » Patrick Montel).

Trail de Josas 2024

La Seras participait aux Trails du Josas le dimanche 24 mars 2024 avec plusieurs parcours partant de Jouy en Josas sous le nom d’illustres habitants de Jouy.

Nous étions plusieurs membre de la SERAS-CAP inscrits aux courses adultes :

  • Flo sur ‘La Calmette’ (15km)
  • Cath et Bernard sur ‘La Blum’, (25km, 460mD+)
  • Et Olivier sur ‘L’oberkampf ‘(35km).

L’esprit des courses est de faire des trails ‘nature’ en autonomie.

Concernant « la Blum », 306 concurrents se sont positionnés sur la ligne de départ des 25 km.

Catherine et ses deux soeurs, Anne et Isabelle, ont fait une belle course groupée avec des performances chacune dans sa catégorie.

Dés le premier km, la montée par le campus HEC vers le plateau de Villetain, donnait le ton d’un parcours très vallonné avec de bons dénivelés. Dans les 7 premiers kms, il fallait monter plus de 180m de D+ repartis sur 4 côtes avec un circuit qui jalonnait entre les étangs du golf de St Marc et les plateaux de part et d’autres. Un parcours magnifique mais boueux dans certaines parties. Puis le circuit devenait plus plat pendant 4km autour des Loges en Josas mais toujours sur un terrain très gras. Après deux grosses cotes de plus de 50m chacune, on passait au dessus de l’A86 pour une boucle de 7km vers Viroflay. Ensuite, le parcours sur le plateau était plus roulant. Les deux derniers kms de descente vers Jouy, dont un escalier cassant, m’ont obligé à ralentir le rythme pour protéger mes genoux fragiles.

Enfin l’arrivée nous attendait avec une bière bien méritée. La goûteuse Paella offerte à l’arrivée, permettait aux trailers de débriefer et de rencontrer les copains des clubs de la région dans une ambiance sympathique.

Les résultats :

DistanceNomTempsVitesseClassement/Cat.
35kmOlivier NORCA3h17’4510,628°/39 M2H
25kmCatherine LEBLANC2h47’068,984°/6 M4F
25kmBernard MARTIN2h49’418,843°/8 M6H
15kmFlorence AUGER1h58’547,5711°/18 M4F

CROSS de la Sablière 2024

Le Dimanche 4 février 2024 avait lieu la 42ème édition du Cross de la Sablière à Viroflay.

Il faudrait parler non pas « du » Cross mais « DES » cross de la Sablière car il s’agit d’une succession de 6 courses pour les différentes tranches d’âge d’enfants et d’adultes.
Une ambiance donc très familiale et agréable.
En effet, pendant plusieurs heures, le stade de départ est noir de monde avec les cris des enfants plein d’enthousiasme et les encouragements des parents.

La devise des organisateurs est la suivante :
 « Le sport mesure la valeur humaine en millimètres et en centièmes de seconde. »

Pour ma part, en tant que M6, je ne me bats plus contre les centièmes de secondes mais contre les années.

La devise devrait être complétée par
 « Le sport mesure la valeur humaine en nombres de sourires, de cris de joie et d’encouragements. « 

Nous étions 3 membres de la Seras Course à pieds à participer à cette fête.
Catherine et Olivier ont participé au cross long de 11km et Bernard sur le Cross court de 6km.

La météo était idéale, température de 10° et temps sec.

Le cross court de 6200m partait à 10h30

Il fallait faire un départ rapide pour éviter d’être ralenti dans les goulets d’étranglement des premières centaines de mètres.
J’avais encore la vitesse dans les jambes après ma participation la veille à la compétition du « 10km des foulées de Malakoff ».

Le parcours de la Sablière est magnifique mais exigeant avec plusieurs sentiers roulants et aussi plusieurs passages étroits en « single » .
Un vrai cross en sous bois avec un terrain souple et quelques passages boueux permettant d’apprécier les chaussures de trail.

La première côte très raide arrive très vite et en quelques centaines de mètres permet de monter sur le plateau. Les foulées peuvent alors s’allonger pour rattraper les grimpeurs partis devant. La course enchaîne quelques raidillons et des descentes rapides en particulier pour redescendre à Viroflay.

Le cross long qui suivra 15mn plus tard, enchaînera un deuxième tour dans le bois de Meudon alors que le cross court ne fait qu’un tour.

Le dernier kilomètre me permettra d’accélérer et de prendre la première place de tout les Master M5, M6 et supérieur.
En arrivant vers le stade, l’ambiance familiale revient. Il faut éviter les enfants, les prévenir quand ils viennent de perdre un vêtements sur le parcours. Alerter à distance, les vieillards avec leur canne au milieu des passages étroits du parcours.
Je débouche sur la piste, content d’avoir éviter ce gymkhana final. Il ne me reste que 10m à parcourir, et je me fais doubler sur la ligne d’arrivée par un comparse M6H qui déboule à pleine vitesse mais que je n’avais pas vu en embuscade si près derrière moi.
 » Chapeau l’artiste.  » Bien joué. 
Je suis frustré de ne finir que deuxième M6H pour une petite seconde mais content pour lui d’imaginer son plaisir d’avoir fait son accélération au bon moment.
Je le félicite et un échange très sympa se fait avec lui lors du debriefing autour du ravitaillement jusqu’à nos remises de Coupes sur le podium.
C’est aussi cela la beauté du sport.
Heureux de partager ce moment et d’être encore là en M6 avec son âme d’enfant.
Cela me rappelle, les souvenirs du bon temps durant les 40 années de cross Interlabos des campus CNRS et universités d’île de France Sud.

Le cross long de 11,1 km partait à 10h45.
Cela m’a permis d’encourager les sprints des coureurs à l’arrivée et d’admirer la facilité de la foulée des jeunes premiers et aussi de Olivier, Isabelle (la sœur de Catherine) et Catherine qui prend la deuxième place en M4F.

En conclusion, un cross comme je les aime, avec un beau parcours diversifié dans la forêt de Meudon et une ambiance familiale très sympathique.

Catherine 2eme M4F Cross long
Olivier  10eme M2H Cross long
Bernard 2eme M6H Cross court.

Bernard MARTIN

Les foulées de Malakoff 2024

Plus l’on s’enfonce dans les catégories Master et moins l’on trouve de volontaires pour se placer au départ d’un pur 10km routier, de peur – sans aucun doute – de se confronter parfois un peu durement à la perte de performance inéluctable qui accompagne la manœuvre.

Cependant il reste tout-à-fait intéressant, aussi tôt dans la saison, de se tester sur une distance étalonnée afin de se rendre compte de son état de forme (je dirais « réel ») au sortir du plus gros de l’hiver.

Les Foulées de Malakoff sont donc un rendez-vous idéal dans cette optique car elles réunissent nombre d’avantages indéniables : un parcours roulant revu et optimisé, en deux boucles, comportant toujours avec un léger faux-plat montant suivi d’un agréable récupération en descente dans l’autre sens ; beaucoup de monde (et donc de concurrence significative éventuelle, le cas échéant) : 1241 classés ; une organisation, bien rodée (48ème édition), impeccable, forte de nombreux bénévoles efficaces ; des meneurs d’allure pour tous les goûts ; pour cette année au moins, une météo parfaite : douce, humide mais pas pluvieuse, un vent pratiquement nul ; un ravitaillement d’après-course d’excellent niveau ; enfin, pour les amateurs, une labellisation FFA, sésame pour les championnats de France (à condition de satisfaire aux minima exigés, évidemment).

Voilà donc le contexte dans lequel trois vétérans chevronnés de la SERAS, Joëlle, Bernard et Serge se sont retrouvés pour prendre le départ avec l’ambition (avouée ou pas…) de chronos intéressants en ce qui concerne les deux premiers comparses, Serge se dévouant – un peu contraint en réalité – comme soutien pour ses compagnons.

Le petit groupe adopte une stratégie classique dont j’ai déjà parlé dans ces colonnes avec un départ (très) prudent en vue d’un negative split final, si rien ne s’y oppose. Une prudence de bon aloi pour une troupe pas très convaincue a priori de sa capacité à tenir un rythme donné sur la distance.

On se faufile donc, un peu par hasard, au niveau du meneur 45 minutes, ce qui nous permet de partir en courant immédiatement à la « bonne » allure, en prenant soin de ne pas gêner les autres participants puisque, de toutes façons, nos ambitions n’atteignent pas les 50 minutes. Néanmoins, le groupe des « 50 minutes », précisément, ne s’éloigne pas trop rapidement et c’est de bonne augure pour la suite. Fraction montante avalée en souplesse puis, fort de ses longues enjambées, Bernard prend le meilleur à la faveur de la descente. Serge et Joëlle – qui en ont vu d’autres- maintiennent leur rythme puis reviennent insensiblement sur le fuyard, moins à l’aise dans les relances montantes. La jonction est ainsi effectuée au second passage dans la montée la plus longue et, cette fois, Bernard décide de ne pas contrer « l’attaque » de notre féminine alors que s’amorce la descente.

A ce moment-là, les trois kilomètres encore à couvrir permettent même à celle-ci de poursuivre son accélération et de prendre à son tour le large. Deux raisons expliquent cette motivation : d’une part, la certitude d’un chrono qualificatif aisément atteint et dont elle doutait à l’origine, d’autre part la présence d’une demi-douzaine de filles juste devant elle qui se laisseront surprendre par cette énergie affichée opportunément en cette fin de course – et peut-être aussi les encouragements de son mari, on ne sait jamais…

Au final, 50:54 pour Joëlle (qualifiée – largement –  en M5F) et Serge, 51:24 pour Bernard (M6), parfaitement satisfait de ce résultat et… qui aura le courage de s’aligner brillamment sur le cross de la Sablière le lendemain !

Joëlle & Serge PERARD, Bernard Martin

Sur la piste du Père Nöel 2023

Le samedi 16 décembre 2023, nous étions près de 500 coureurs et coureuses à nous élancer “Sur la piste du Père Noël. » Il s’agit d’un  trail de nuit de près de 12 km avec un dénivelé de 300m parfois difficile comportant des descentes techniques au milieu des bois sur les parcours de la station Trail de Bures-sur-Yvette. Un parcours avec de nombreuses ‘singles’, très glissantes, compte tenu de la boue et des pluies abondantes des semaines précédentes.

Nous étions quatre de la SERAS CAP: Catherine, Françoise, Christophe et moi. 

Beaucoup de coureurs étaient déguisés en père Noël  comme certains membres du seras-Cap-Idf. Bien que la température soit basse, Catherine a pu constater que le manteau du père Noël pouvait être très chaud dans les côtes. Une très bonne ambiance existait déjà lors de l’accueil dans le gymnase où nous avons pu échanger avec les copains des autres clubs locaux: CSX, JDM, Turoom, etc

Le départ à 19h sur le stade de Chabrat permettait de répartir les coureurs dans un flux continu après quelques centaines de mètres, avant les passages étroits dans la forêt. 

Le départ, c’est comme un bon coup de CID:

« Nous partîmes cinq cents; mais par un prompt renfort

Nous nous vîmes heureux en arrivant au port,

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus épouvantés reprenaient du courage ! »

Ma lampe pectorale de 900 lumens  était bien utile pour deviner les pierres et les racines sous le tapis de feuilles. La première montée rapide dans le bois  asphyxiait les coureurs comme moi. J’entends alors la voix de deux féminines en pleine discussion, même pas essoufflées, qui me doublent rapidement. Impressionné, je reconnais alors l’habit de père Noël de Catherine en promenade facile avec Élisabeth. Leur ‘bla-bla run’ m’a ensuite servi de balise auditive ( plus ou moins éloignée <;-} ) comme un phare de nuit pour deviner le chemin à suivre. Le parcours rejoignait l’ancienne voie ferroviaire passant sous le tunnel, jusqu’au viaduc, puis une descente difficile nous emmenait sous le viaduc. La remontée vers Montjay faisait grimper le cardio. Il y avait une superbe ambiance portée par les coureurs avec les encouragements des spectateurs et des bénévoles que l’on reconnaissait parfois à la voix derrière leur lampe frontale. Puis après un passage rapide à plat, le parcours continuait vers un roller coaster assez technique qui redescendait vers le viaduc. Une bonne partie du parcours était dans la boue,  comme la descente suivante qui nécessitait l’accroche de bonnes chaussures de trail. Le circuit ‘offrait’ ensuite à ces chaussures méritantes une bonne petite trempette lors de la traversée du ruisseau d’Angoulême qu’il  fallait passer à gué. La remontée sur le plateau  permettait d’observer la magnifique guirlande ininterrompue de centaines de lucioles gambadant en lisière de bois dont nous faisions partie. Je ne sais pas ce que les organisateurs ont mis dans le ravitaillement à 7 km, mais cela m’a dopé pour la suite. <;-)) La descente technique par la sente St Clair, puis la remontée par le chemin de la justice n’ont été qu’une formalité. La grande descente de 3,5 km vers l’arrivée n’offrait que du plaisir, comme me l’a confirmée une copine, ‘on lâche les chevaux car ça sent l’écurie. ‘

Le ciel dégagé nous a offert un beau croissant de lune mais la température descendait rapidement vers le givre. Reconnaissons, qu’il faut être un peu « givré » pour courir de nuit dans les bois, dans le froid, dans la boue, en pataugeant dans un ruisseau abondant, et tout cela avec le sourire. 

La soupe à l’arrivée, et un bon ravitaillement attendait les coureurs au chaud dans le gymnase Chabrat pour débriefer. 

En conclusion, comme de grands enfants, nous avions raison de  croire au Père Noël, car sur sa piste, il a mis dans notre hotte personnelle, le beau cadeau que nous avions espéré: « Un souvenir superbe d’un grand bol d’air et de plaisirs, avec une belle aventure entourée des copains. »

Bernard Martin

Les résultats :

258eme DAVID Christophe M4M (25/42) 1:16:59 
265eme MARTIN Bernard M6M (3/7) 1:17:19
286eme LE BLANC Catherine M4F (2/17) 1:18:07 
459eme BOUVET Françoise M4F (12/17) 1:37:22

537eme DELEGLISE Charles (en tant que remplaçant de Florence) 1:46:56 

Route des 4 Châteaux 2023

5 coureurs de la SERAS participaient à cette classique de notre région sur un nouveau parcours de 16,9 km et 206 m  de dénivelé. La météo était favorable avec 14 degrés et des éclaircies bienvenues après les nombreux jours de pluie de ces dernières semaines.

Le terrain promettait d’être très boueux avec 2/3 de chemin et 1/3 de route, mais en fait les chemins sélectionnés étaient plutôt drainant  à l’exception du plateau de Breteuil et ses chemins herbeux/boueux ! Cette année la course était complète avec 2700 coureurs et le départ sur route permettait d’étaler les participants. Le premier château de Mauvières est vite atteint et le peloton encore très dense avant que la première côte n’arrive. Puis on enchaine avec le parc du Château de Dampierre, magnifique avec les lumières automnales. Une longue et régulière côte arrive alors pour accéder à un  plateau et atteindre le Château de Breteuil. Là, les mousquetaires du roi nous encouragent en pointant leur épée vers le ciel  et  en vociférant  « vive le roi ». Nous sommes transportés…L’unique ravitaillement arrive à point nommé vers le 10e kilomètre puis on redescend sur le joli village de Choisel à travers bois. Nous finissons  les 4 derniers kilomètres avec une ou 2 côte bien senties. Les 300 derniers mètres sont sur route et  le public nombreux nous applaudi sur la ligne d’arrivée.

C’était une édition bien sympathique et le nouveau parcours était bien adapté au nombre de coureurs.

Bref un bon moment de course à pied suivi de la traditionnelle bière et de convivialité.

A faire et à refaire…

ClassementNomTempsCat.Class/CatClass/Sexe
398Serge Perard1:25:16M514381
550Olivier Norca1:28:55M274517
690Christophe David1:32:03M457635
972Joelle Perard1:37:45M54115
1019Bernard Martin1:38:28M616892
2254Françoise Bouvet2:06:36M466637

Paris-Versailles 2023

Nous étions 4 coureurs La SeRAS pour cette 44ème édition de la grande classique ! Et bien sûr, nous avons gravi cette fameuse côte des gardes sous un beau soleil. Les conditions métrologiques étaient parfaites, l’organisation aussi. Cette année, une belle médaille à l’arrivée fêtant le centenaire de la mort de Gustave Eiffel.

Félicitations à tous et toutes !!

DossardNomCat.TempsClass. GénéralClas. CatClas. Sexe
10921FOURNAUDM2F1h 59mn 38s19991 / 21312730 / 8115775 / 6493
10922FOURNAUDM3H1h 59mn 36s19985 / 213121731 / 179914213 / 14825
10923HUETZM5H1h 37mn 07s13271 / 21312370 / 70510763 / 14825
10919LE BLANCM4F1h 37mn 07s8469 / 2131232 / 3971012 / 6493